Je viens de faire un petit chanson
Je m’ adresse simplement aux garcons
Méfiez-vous de petites femmes
Vous savez, qu’ elles sont infames
A la guerre vous avez vu l’ennemi
Se balader dans touts les pays
Et tout ca c’était simplement pur
Un petit’ tout de saucisse de Strasbourg
Avant la guerre elles avaient bien juré
D’é`tre fidèles à leurs bienaimés
Et quand ils prenaient les armes
On voyait conter les larmes
Mais ce chagrain ne dure pas longtemps
Quand alles ont vu les casques allemands
Elles ont eu envie de l’amour
Elles ont gouté la sausicces de Strasbourg
On les voie souvent de les petits coins
Se balader en se donnant la main.
L’Allemand dit : Moi, j’aime
Les petites femmes plus que moi-méme.
Venez faire un petit tour avec moi.
La petite lui demandait : pourquoi ?
Il lui dit : ma petite cherie, c’est pour
Entrer dans la forét de Strasbourg.
Quelque temps après à l’hopital
Le soldat allemand se trouvait mal.
Il sentait bien quelque chose
qui n’entait pas tout en rose,
La docteur lui dit : mon pauvre garcon,
Il faut, que je vous fasse l’operation.
Et tout ca e’ etait à cause de l’amour
Tant que’ je vous coupe la saucisse de Strasbourg.
Après la guerre il en aura beaucoup
qui n’en auront plus qui un tout petit bout.
Maudissant la republique
Et les petites dames de Belgique
A leurs femmes ils diront tristement :
Tu vois je viens encore vivant
Mais je dois renoncer à l’amour
On m’aa coupè ma saucisse de Strasbourg.
Dieses erotische Chanson, in dem der Penis des deutschen Besatzungs-Soldaten als Strassburger Würstchen „getarnt“ wird, steht in der Soldatenlieder-Sammlung (1914-1918) des Deutschen Volksliedarchivs in Freiburg als DVA A 109142 . Dazu „Grand-Reng. I, XI. 18 – 1918 in der Gegend von Maubeuge von unsern Soldaten viel gesungen – Eins.: Forstprakt. Roschatt, Lt.d.Res. Landshut „